Dans les stéréotypes qui ont pignon sur rue à propos des femmes russes et ukrainiennes, c’est souvent le mauvais caractère de ces femmes, leur jalousie excessive et d’autres traits de caractères. Mais peut-on vraiment généraliser ces derniers à tout un peuple, à plus de 110 millions de femmes si l’on parle de la Russie, de l’Ukraine, de la Biélorussie et de la Moldavie. Certes nous pouvons découvrir des caractéristiques pour chaque peuple, avec des différences encore au niveau régional, certes il est avéré que les femmes russes et ukrainiennes seraient en général plus jalouses que la moyenne, mais avez-vous posé la question, une petite question, pourquoi ? Vous le découvrirez dans cet article, de l’Agence CQMI, une agence spécialisée dans la recherche d’épouses à l’Est, l’agence qui est en train de devenir, ou qui est même devenue la référence en la matière. Matraquée de stéréotypes mensongers et réducteurs, il est vrai également que la femme russe et ukrainienne a du mal à passer auprès des Occidentaux lambdas, peu informés, mal informés et surtout dans l’ignorance aussi de ce que sont les sociétés slaves.
Femme russe Jalouse ?
Des déformations médiatiques, la femme russe en subit presque quotidiennement, mais il faut dire qu’elles sont environ dans ces quatre pays une dizaine de millions à rêver de partir au bras d’un homme de l’étranger. C’est ici que réside la plus grave erreur des personnes en méconnaissance de la situation, car il existe plusieurs formes de désir d’émigration matrimoniale. La plus répandue est celle de la recherche de l’homme, au sens propre, car le déficit d’hommes dans la tranche d’âge de 18 à 55 ans est très important. Pour d’autres moins nombreuses, l’émigration économique sera effectivement une raison, mais ces femmes ne sont pas la majorité et les médias en réalité citent souvent une autre catégorie de femmes… les escrocs. Il n’y a bien sûr rien à voir entre des bandits et des vraies femmes, et les désastres amoureux d’Occidentaux dépouillés sur de bêtes sites de rencontres sont légions… le scammer à l’amour des pays de l’Est, mais surtout d’Afrique à encore de beaux jours devant lui. Cet escroc donc n’est pas la femme slave, non plus que celles montrées ici dans un reportage allemand de la chaîne franco-allemande ARTE, qui ayant sorti ses gros sabots propagandistes, au son des violons larmoyants, tentait de brosser un portrait ridicule des femmes russes.
Au CQMI, il y a des hommes simples, vrais et courageux qui font l’effort de rechercher leur compagne, leur épouse à l’Est. Ils ne sont pas que courageux, ils sont l’essence même de leurs pays, Canadiens, Français, Belges ou Suisses, Africains du Nord, tous ces hommes veulent rencontrer des femmes, authentiques et ayant des valeurs, celles de la famille, de la fidélité, mais aussi qui seront aimantes, présentes, attentionnées et décidées à ne pas se déliter au premier écueil. Voici l’exemple d’Hervé, un Auvergnat qui de son aveu « n’était jamais sorti de sa tanière », a rencontré Tamara une femme qui lui correspondait tellement, que l’osmose entre ces deux êtres fut évidente presque au premier contact. Comme il le dit avec beaucoup de tendresse, dès les premiers courriers, qui furent bientôt quotidiens, des atomes crochus se sont vite révélés, et ces hommes racontent des femmes russes et ukrainiennes qui n’ont rien à voir avec celles des « fantasmes », celles « des médias » ou des reportages sulfureux à audimat ! Ces réussites sont si importantes pour ces couples qu’il devient souvent un devoir pour eux de témoigner, pour que d’autres ensuite connaissent enfin un tel bonheur.
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